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L’ordre oublié de l’amour

« Je ne suis pas un homme ». Peut-être avez-vous découvert cette vidéo pour le moins truculente d’un débat télévisé, où un militant inter-LGBT clame avec un certain courage cette ineptie. L’individu s’insurgeait d’avoir été classé de façon aussi péremptoire par l’animateur, qui avait eu l’outrecuidance de ne pas lui demander son avis sur la question avant de faire les présentations.


L’avantage c’est que cette répartie est si absurde que la sidération de l’auditoire laisse rapidement place à l’hilarité. Ici, le grotesque crève les yeux, il fait l’unanimité. Malheureusement c’est rarement le cas quand on discute avec un fanatique du genre : malgré le grotesque du discours, difficile de communiquer notre hilarité à notre interlocuteur. Et souvent, stupéfait d’avoir à expliquer ce qui tombe sous le sens, on s’emmêle dans les évidences. On sort de là tout penaud, confus de n’avoir su défendre ce qui crève les yeux.


Car enfin, un homme et une femme c’est quand même pas pareil… Non ? Au fond, sont-ils tous deux si différents ? Et surtout, ces différences sont-elles si importantes ? Nous avions déjà effleuré le sujet de la différence des sexes dans l’article le premier couple béatifié de l’histoire avec l’exemple des époux Beltrame, mais aujourd’hui j’aimerais qu’on aille un peu plus loin. Figurez-vous que Pie XII s’est justement exprimé sur le sujet. Voyez plutôt :


« Dans leur dignité personnelle d'enfants de Dieu, l'homme et la femme sont absolument égaux […]. C'est la gloire impérissable de l'Eglise d'avoir remis cette vérité en lumière et en honneur, et d'avoir libéré la femme d'une servitude dégradante contraire à la nature. Mais l'homme et la femme ne peuvent maintenir et perfectionner cette égale dignité qu'en respectant et mettant en pratique les qualités particulières dont la nature les a dotés l'un et l'autre, qualités physiques et spirituelles indestructibles, dont il n'est pas possible de bouleverser l'ordre sans que la nature elle-même ne parvienne toujours à le rétablir. Ces caractères particuliers qui distinguent les deux sexes se révèlent avec tant de clarté aux yeux de tous que seuls une obstination aveugle ou un doctrinarisme non moins funeste qu'utopique pourraient en méconnaître ou en ignorer à peu près la valeur dans l'organisation sociale. »[1]


C’est dit, et bien dit. Mais comment cerner les « qualités particulières » de la vocation masculine et de la vocation féminine ? Le danger ici serait de considérer l’homme et la femme séparément dans le but de décrire chacun de façon exhaustive « toute chose égale par ailleurs », de chercher à dresser le prototype complet de l’homme et de la femme. Le risque quand on part dans ce sens est de mélanger les domaines, de faire du hors sujet en traitant l’homme comme une donnée mathématique. Résultat : on se perd dans des classifications et des détails subtils, puis on finit par chercher davantage la cohérence et la perfection du système que son réalisme. Finalement, parce que la perfection mathématique ne se trouve pas dans le monde physique, on ajoute discrètement que la thèse présentée n’est pas exhaustive, et d’ailleurs que certains hommes se reconnaitront peut-être dans la description psychologique de la femme et inversement. Les charlatans les plus lucides se consolent en pensant que de toute façon les gens adorent les petites boîtes, et qu’ils seront assez magnanimes – ou crédules, c’est selon – pour donner plus d’importance aux théories qu’on leur donne à gober qu’à la réalité.


Laissons donc là notre laboratoire tout propre pour prendre la réalité à bras le corps. Et la réalité qui nous montre l’homme et la femme dans toute leur splendeur, c’est la famille. L’homme comme époux et père, la femme comme épouse et mère, voilà l’habitat naturel de nos tourtereaux.


On oublie souvent de le rappeler, mais le mariage est bien la vocation naturelle de l’être humain. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle, quand on discerne sa vocation, il s’agit en fait de savoir si l’on a reçu un appel particulier au sacerdoce ou à la vie consacrée, et non si l’on est « appelé au mariage », parce que pour le coup c’est forcément le cas. Le mariage est donc, d’une certaine manière, un « devoir » une fois que l’on est aussi sûr que possible de ne pas avoir été appelé par Dieu à un état de vie extraordinaire.


Bien sûr, cela ne signifie pas que tout célibat laïc non consacré est une erreur. En revanche, il faut admettre - surtout aujourd’hui, et surtout dans les grandes villes - que cet état de célibat n’est plus tellement perçu comme une étape temporaire mais plutôt comme un état de vie parallèle au mariage, l’état de vie par défaut. Par la force des choses, beaucoup font passer leur projet professionnel avant celui du mariage en prenant des engagements ou en vivant dans des villes qui ne leur laissent qu’une faible disponibilité pour avancer vers le mariage, projet pourtant prioritaire à tout autre. Ici il faut avouer que la société brouille les repères en favorisant les individus célibataires et en ignorant les familles, dédaignant ainsi son socle fondamental. A ce sujet La Tour du Pin a une réflexion très intéressante : il explique que l’individu qui ne devrait avoir aucun droit politique est l’homme célibataire car il n’y a rien de moins fiable, rien de plus instable sur le plan social : sans famille à protéger, il peut déménager ou changer de travail du jour au lendemain car il n’a aucune racine, aucun devoir envers personne. Cette réflexion n'est pas neuve; déjà dans l'antiquité Platon avait dû déambuler nu sur la place publique en chantant des vers satiriques pour pénitence de son célibat, et sous Auguste une loi contraignant les célibataires avait été promulguée. Pour en savoir plus à ce sujet vous pouvez lire la divertissante et instructive conférence d'Étienne Coquet faite au barreau de Poitiers en 1905, De la condition des célibataires en droit français.


Afin de bien comprendre la vocation respective de l’homme et de la femme, il est donc nécessaire de les observer dans leur rôle d’époux et de parents. Retrouvons le pape Pie XI, qui a écrit une encyclique sur le sujet : Casti Connubii. Voici l’extrait tout à fait intéressant d’un paragraphe intitulé l’ "ordre de l’amour":


« Enfin, la société domestique ayant été bien affermie par le lien de cette charité, il est nécessaire d'y faire fleurir ce que saint Augustin appelle l'ordre de l'amour. Cet ordre implique et la primauté du mari sur sa femme et ses enfants, et la soumission empressée de la femme ainsi que son obéissance spontanée, ce que l'Apôtre recommande en ces termes : « que les femmes soient soumises à leurs maris comme au Seigneur ; parce que l'homme est le chef de la femme comme le Christ est le Chef de l’Eglise. » (Eph V, 22-23) Cette soumission, d'ailleurs, ne nie pas, elle n'abolit pas la liberté qui revient de plein droit à la femme, tant à raison de ses prérogatives comme personne humaine, qu'à raison de ses fonctions si nobles d'épouse, de mère et de compagne ; elle ne lui commande pas de se plier à tous les désirs de son mari, quels qu'ils soient, même à ceux qui pourraient être peu conformes à la raison ou bien à la dignité de l'épouse ; elle n'enseigne pas que la femme doive être assimilée aux personnes que dans le langage du droit on appelle des « mineurs », et auxquelles, à cause de leur jugement insuffisamment formé, ou de leur impéritie dans les choses humaines, on refuse d'ordinaire le libre exercice de leurs droits, mais elle interdit cette licence exagérée qui néglige le bien de la famille ; elle ne veut pas que, dans le corps moral qu'est la famille, le cœur soit séparé de la tête, au très grand détriment du corps entier et au péril — péril très proche — de la ruine. Si, en effet, le mari est la tête, la femme est le cœur, et, comme le premier possède la primauté du gouvernement, celle-ci peut et doit revendiquer comme sienne cette primauté de l'amour. Au surplus, la soumission de la femme à son mari peut varier de degré, elle peut varier dans ses modalités, suivant les conditions diverses des personnes, des lieux et des temps ; bien plus, si le mari manque à son devoir, il appartient à la femme de le suppléer dans la direction de la famille. Mais, pour ce qui regarde la structure même de la famille et sa loi fondamentale, établie et fixée par Dieu, il n'est jamais ni nulle part permis de les bouleverser ou d'y porter atteinte. »[2]


Voici donc l’ordre de l’amour : l’homme a pour vocation d’être la tête de la famille et de la gouverner, tandis que la femme en est le cœur. Léon XIII avait déjà expliqué cela dans son encyclique sur le mariage chrétien Arcanum divinae sapientiae :


« Il faut qu'ils (les époux) se souviennent toujours qu'ils se doivent mutuellement le plus grand amour, une fidélité constante, une aide prompte et assidue. L'homme est le prince de la famille et le chef de la femme ; celle-ci, toutefois, parce qu'elle est, par rapport à lui, la chair de sa chair et l'os de ses os, sera soumise, elle obéira à son mari, non point à la façon d'une servante, mais comme une associée ; et ainsi, son obéissance ne manquera ni de beauté ni de dignité. Dans celui qui commande et dans celle qui obéit — parce que le premier reproduit du Christ, et la seconde l'image de l'Eglise, — la charité ne devra jamais cesser d'être la régulatrice de leur devoir respectif. »[3]


Et pourtant force est de constater, comme on l’a mentionné tout à l’heure, qu’on a porté atteinte à la structure même de la famille. Le féminisme semble s’être emparé de la femme comme d’une bannière, et a bouleversé cet « ordre de l’amour » au nom d’une liberté tyrannique. Pie XI poursuit :


« Les mêmes maîtres d'erreurs qui ternissent l'éclat de la fidélité et de la chasteté nuptiales n'hésitent pas à attaquer la fidèle et honnête subordination de la femme à son mari. Nombre d'entre eux poussent l'audace jusqu'à parler d'une indigne servitude d'un des deux époux à l'autre ; ils proclament que tous les droits sont égaux entre époux ; estimant ces droits violés par la « servitude » qu'on vient de dire, ils prêchent orgueilleusement une émancipation de la femme, déjà accomplie ou qui doit l'être. Ils décident que cette émancipation doit être triple, qu'elle doit se réaliser dans le gouvernement de la vie domestique, dans l'administration des ressources familiales, dans la faculté d'empêcher ou de détruire la vie de l'enfant, et ils l'appellent sociale, économique, physiologique : physiologique, car ils veulent que les femmes soient à leur gré affranchies des charges conjugales et maternelles de l'épouse (ce qui n'est pas émancipation, mais crime détestable, Nous l'avons suffisamment montré) ; économique ils entendent par-là que la femme, même à l'insu de son mari, et contre sa volonté, puisse librement avoir ses affaires, les gérer, les administrer, sans se soucier autrement de ses enfants, de son mari et de toute sa famille ; Sociale enfin : et par là ils enlèvent à la femme les soins domestiques, ceux des enfants et ceux de la famille, pour que, ceux-là négligés, elle puisse se livrer à son génie naturel, se consacrer aux affaires et occuper des charges, même les charges publiques. Mais ce n'est pas là, une vraie émancipation de la femme, et ce n'est pas là non plus cette digne liberté conforme à la raison, qui est due à la noble tâche de la femme et de l'épouse chrétienne ; c'est bien plutôt une corruption de l'esprit de la femme et de la dignité maternelle, un bouleversement aussi de toute la famille, par où le mari est privé de sa femme, les enfants de leur mère, la maison et la famille tout entière d'une gardienne toujours vigilante. Bien plus, c'est au détriment de la femme elle-même que tourne cette fausse liberté et cette égalité non naturelle avec son mari ; car si la femme descend de ce siège vraiment royal où elle a été élevée par l'Evangile dans l'intérieur des murs domestiques, elle sera bien vite réduite à l'ancienne servitude (sinon en apparence, du moins en réalité) et elle deviendra — ce qu'elle était chez les païens — un pur instrument de son mari. »[4]


Quinze ans après, Pie XII confirme le diagnostic de son prédécesseur : « L'égalité des droits avec l'homme a imposé (à la femme), avec l'abandon de la maison où elle était reine, la même quantité et durée de travail. On a oublié sa véritable dignité et le fondement normal de tous ses droits, c'est-à-dire le caractère propre de son être féminin et l'intime coordination des deux sexes. On a perdu de vue la fin proposée par le Créateur pour le bien de la société humaine, et surtout de la famille. Dans les concessions faites à la femme, il est facile de découvrir, plus que le respect de sa dignité et de sa mission, le souci de renforcer la puissance économique et militaire de l'Etat totalitaire, auquel tout doit être inexorablement subordonné. »[5]


On retrouve ici un point soulevé dans l’article sur la démocratie : les peuples modernes ont étés enivrés de libertés individuelles au point de préférer une société soi-disant « libre » où règne la loi du plus fort plutôt qu’une société ordonnée au bien commun, qui implique nécessairement des disparités formelles et durables entre les citoyens. De la même façon que les régimes libéraux ont dû détruire les corporations et décapiter l’aristocratie pour s’installer, la « famille » moderne et éclatée a tranché la tête de l’homme en tant que chef de la famille « traditionnelle ».


Ce qu’il faut comprendre ici c’est que la vocation de l’homme d’être la tête de la famille est essentielle autant pour l’homme que pour la famille : comme on l’a dit plus haut, puisqu’il n’enfante pas l’homme est l’individu « mobile » par excellence, le moins stable socialement. A force de lutter pour que la femme ait la même place que l’homme, celui-ci est comme déresponsabilisé de sa vocation et encouragé à user de cette mobilité. Beaucoup d’hommes s’en contentent naïvement, mais c’est en réalité une liberté maudite, qui le laisse seul devant le mystère dont il a été exclu. André Dussolier, au cours d’une scène assez touchante du film trois hommes et un couffin, désespère de ce bannissement : « Moi si j’étais Dieu, si je pouvais refaire le monde, je fabriquerai Adam à partir d’une côte d’Eve. »[6] En refusant à l’homme le privilège particulier de servir les membres de la famille et d’en protéger le cœur (qui est la femme), le féminisme a saboté à la fois l’homme qui s’est vu déraciné, la femme qui s’est vue surchargée et la famille qui erre, explosée, déboussolée.


D’un point de vue général, l’un des effets les plus néfastes du féminisme est d’avoir insinué dans les familles la méfiance envers l’autorité. A cause de l’idolâtrie de la liberté et de l’émancipation, l’autorité est systématiquement vue comme une stratégie individuelle d’obtention et d’abus de pouvoir, comme un danger. La chose est d’autant plus pernicieuse qu’elle s’immisce dans le couple, comme en écho à l’accusation qu’Adam porte contre Eve devant Dieu : « elle m’en a donné et j’en ai mangé ». Désormais, l’acte de refuser l’autorité se couvre d’un voile hypocrite de fausse modestie. Chacun s’empresse de se défausser du rôle de chef, chacun décline avec une grandeur d’âme splendide cette charge.


Or, tant que l’autorité est diffuse, tant qu’elle n’est pas nommée, la responsabilité de chacun se dissout dans le groupe. Et il n’y a rien de pire qu’une responsabilité éparpillée ainsi, parce que c’est la définition de la paralysie sociale, du passage de l’homme libre à l’individu anonyme, incapable de discerner le bien, de le choisir et de le poursuivre. Dès lors que l’autorité se focalise sur une personne, cette chape de plomb paralysante s’évanouit et le groupe peut retrouver la vie. Pour reprendre le sujet qui nous occupe, l’homme est donc appelé à être le premier responsable dans la famille. Ce qui est en jeu ici ce n’est pas le pouvoir, mais l’ordre et la paix.


Il semble opportun de rappeler ici l’exemple des époux Beltrame : Maria, bien qu’elle possédait un caractère particulièrement trempé, n’hésitait pas à rappeler dans ses écrits l’honneur que doit mettre la femme dans la soumission à son conjoint. Car pour que l’homme puisse réellement s’investir de l’autorité qui lui revient, il faut que la femme lui en donne la possibilité. L’agression permanente de la société vis-à-vis de la famille naturelle nécessite un redoublement de bienveillance de la part du couple parental, parce qu’il n’y a plus de rempart social sur lequel appuyer cette vocation naturelle.


Rappelons ce que nous avons déjà évoqué dans l’article le premier couple béatifié de l’histoire : le couple parfait est tout sauf deux individus autonomes, capable chacun de son côté de subvenir à ses besoins et à ceux des enfants. Dire que l’homme est différent de la femme, c’est affirmer que l’homme ne peut pas se substituer à la femme et inversement. Cela signifie très concrètement que chaque conjoint dépend de l’autre, et surtout qu’il accepte cette dépendance et ne cherche pas à la résoudre comme si c’était un problème. C’est, bien sûr, un risque considérable… qui est inhérent à l’authentique engagement. Voir l’autre comme sa voie sanctifiante privilégiée, c’est choisir d’avoir besoin de l’autre, c’est s’abstenir volontairement, face aux difficultés, de cheminer seul de son côté pour avancer à deux, quitte à prendre un chemin inconnu.


Matériellement, il faut admettre quand même que cette dépendance se trouve davantage du côté de la femme que du côté de l’homme dans la famille. C’est d’ailleurs l’immense avantage de la société moderne que de rendre explicites la liberté et l’humilité du rôle de la femme au foyer, qui se soumet volontairement à l’autorité de son époux. De fait, aujourd’hui une telle attitude ne peut s’expliquer que par un refus libre et volontaire de toutes les facilités qu’agite la société au nez de la femme pour la tirer hors du foyer.


D’un autre côté, il est nécessaire aussi de remarquer que cet acte de confiance et d’abandon de la femme à l’égard de son mari isole celui-ci, le renvoie bien mieux que toutes les marques d’encouragement à sa vocation propre. Et on peut ajouter que cet éloignement du père, contrastant avec la présence quotidienne de la mère auprès des enfants, va être l’un des signes les plus forts pour l’éducation de ceux-ci, en donnant à chaque parent une place foncièrement différente et complémentaire. Mais c’est un autre sujet.


D’aucuns diront peut-être que c’est là une lecture un peu littérale de la bible. Que Pie XII, "c’était avant". Qu’aujourd’hui, on sait déjà tout cela mais qu’on l’a dépassé parce que la société moderne est bien au-dessus de tout cela. Et puis, qui sommes-nous pour imposer quoi que ce soit à qui que ce soit ? Cela se passe entre chaque femme et Dieu. Demander à quelqu’un d’obéir, c’est un abus car, au fond, on n’est pas plus futé qu’un autre. Et puis, le bien n’est pas un absolu, tout est affaire de situation… A ceux-là je propose de relire cet article, ça ne fera pas de mal.


Lisez, méditez, agissez. Et bonne semaine !


[1] Pie XII, Discours aux dirigeantes féminines de l'action catholique italienne, 21 octobre 1945 (disponible ici sous la forme d’un livre commenté intitulé la condition de la femme dans le monde moderne) [2] Pie XI, encyclique Casti Connubii, 31 décembre 1930, §2 [3] Léon XIII, encyclique Arcanum divinae sapientiae, 10 février 1880 [4] Pie XI, Casti Conubii, op. cit [5] Pie XII, Discours aux dirigeantes féminines de l'action catholique italienne, 21 octobre 1945 (disponible ici sous la forme d’un livre commenté intitulé la condition de la femme dans le monde moderne) [6] André Dussolier, dans Trois hommes et un couffin, 18 septembre 1985

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